Revue de presse

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Un concert hallucinant invitation à un beau voyage.

« «Mineurs», par la Cie Les Commandos Percu, création 2018, est un chaos de formes grises, noires, souvent tordues, bosselées, difformes, martelées. Il y a des carrés, des cercles, des cylindres, des courbes et des bras qui relient et soutiennent un immense tas de tôles, de bronzes, de peaux marquées de coups sombres. C'est une machine humaine. En tendant le bras au bord du cercle de métal on pourrait presque la toucher.
Les Mineurs arrivent. Les lampes des hommes au travail zèbrent l'obscurité déjà crevée par un grondement sourd. Leurs baguettes sont des pics, des masses, des leviers. Coups de boutoir, jets de vapeur, engrenages, claquements : ils ont démarré leur excavatrice. Un puissant battement jaillit et déferle. Le rythme est devenu un tapis roulant qui déverse sa folle énergie et inonde la galerie que forme le public, montant jusqu'aux ventres, car c'est par là qu'il lui faut être entendu.
Les murs de la salle des fêtes ont vibré devant des spectateurs enthousiasmés par un tel spectacle qui résonne encore dans leurs têtes. » - > La Dépêche du Midi / Avril 2018

Les Commandos Percu dans la jungle de Calais 

Interview et carnet de route  - article complet à lire en ligne - > Intramuros / Juin 2016

4 000 personnes enthousiastes !

« Tous transportés, pour un temps, dans l'ailleurs étonnant d'un  spectacle rare, ils vivaient le moment comme on reçoit un cadeau. » - > Vosges Matin / Mai 2012

35 minutes étourdissantes et magnifiques

« C'est parti pour 35 minutes d'explosions rythmées. Tous les sens sont sollicités, aucun répit n'est autorisé. L'air sent le souffre, les oreilles sont remplies des percussions et des basses. Les étoiles sont occultées par les multiples feux d'artifices. Tout est prétexte pour mettre littéralement le feu. Un coup de cymbale et il en sort des flammes. Très Méchant(s) est une machine de guerre bien huilée, rien ne l'arrête. Les basses sont lourdes et profondes, les rythmiques endiablées, tribales. Elles s'infiltrent, prennent les tripes, ne concèdent rien. C'est un feu purificateur qui s'abat sur les Granges Forestier. Très Méchant(s) est la réponse des Commandos Percu à la violence du monde. Un spectacle absolument jubilatoire. » - > L'indépendant / Juillet 2007

L'art comme vecteur de démocratie et d'élévation du collectif

« Quatre ans après leur passage remarqué dans le In de Chalon dans la Rue, les Commandos Percu reviendront l'été prochain du 20 au 23 juillet 2011. Ils étaient en résidence cette semaine à L'Abattoir / Centre National des Arts de la Rue pour la création d’un nouveau spectacle, intitulé Destruction ! mais qu'on ne s'y trompe pas, derrière ce mot terrible, se cache un message pacifiste : " Ne fermons pas nos sens ni notre coeur, ouvrons-nous sur ce qui nous entoure, cassons les murs de Berlin qui poussent autour de nous dans notre quotidien. ".» - > Le Journal de Saône et Loire / Février 2011

Délire visuel de flammes et percussions mêlées

Les musiciens-artificiers ne s'encombrent pas de préliminaires, il faut que ça pète et tout de suite. Face à un monde vraiment méchant, Les Commandos Percu offrent leur fureur pour que l'on puisse enfin retrouver le calme et la paix. Et l'on s'y laisse aller avec plaisir devant ce qui constitue tout de même, au-delà du message, une véritable féérie visuelle où la musique et le feu fusionnent en un superbe feu d'artifice lancé vers le ciel. La musique, quant à elle, fait battre les cœurs au rythme des percussions, comme autant de petits tambours individuels. A la fin, le public électrisé par tant d'énergie déployée, en redemande : « encore, encore ! », criaient à l'unisson un bon millier de voix, et nous avec... - > Le Journal de Sâone- et- Loire / Juillet 2007

Le public comme partenaire

« Batteurs endiablés et artificiers orfèvres, feux follets et bêtes de scène, les Français Commandos Percu sculptent la nuit sur un percutant air de fête. Arrivés et partis en sarabande dans la prairie, ils laissent dans leur sillage des vibrations cosmiques et des fumées iridescentes, une énergie folle couplée à l'invention mélodico-chorégraphique, une marée humaine ponctuée d'étincelles. (…) Leur show marque «Chassepierre 2000» d'un fer incandescent, éblouissant. - > La Libre Belgique

Un concert explosif

« Ce groupe venu d'ailleurs libère son énergie. Une explosion jaillit. La fusion avec le public s'opère. Sur leur vaisseau d'étincelles, ces magiciens du rythme frappent, à l'unisson, leurs «peaux tendues ». Dans ce cratère de feu, chaque frappe invite au voyage. Un spectacle étonnant et détonant. » - > La Voix du Nord

Les Commandos Percu en chantier à l'Abattoir Ils enflamment le ciel et font vibrer les sons

« Ils avaient promis dix petites minutes seulement, ce furent plutôt quinze voire vingt minutes furieusement sonores qui ont fait vibrer les spectateurs de l'Abattoir. Les Commandos Percu donnaient un bref aperçu de leur nouvelle création Très Méchant(s). Mais de méchants, il ne fut guère question, une petite ritournelle sur le mode enfantin et les sales gosses entrent en scène, bardés de protections, tapant furieusement à coups de pelle sur des pétards. Vrombissements rock et sonores, percussions sur bidons, pots de fleurs, bouteilles de gaz, ça frappe de bon cœur, le ciel s'enflamme zébré de feux d'artifices, de feux de bengale. Une pyrotechnie qui souligne sans alourdir, qui rythme et ponctue les sons et devient musique elle-même. Et l'on se plaît à rêver au prochain Chalon dans la rue, à un Très Méchant(s) présenté en In et au final du festival orchestré par les Commandos Percu, maîtres es pyrotechnie et sons. Ils ont montré une fois encore qu'il est possible de rester enfant. » - > Le journal de Sâone-et-Loire / Avril 2007

De rythmes et de feux

« Les sons violents, percutants, trouvent peu à peu une harmonie avec les effets des feux d'artifice. Les éclats de lumière et de son se mêlent pour créer une véritable féerie. Des feux d'artifice jaillissent de ces étranges instruments portés par les musiciens. Les percussionnistes semblent des Vulcains battant le feu d'une force surnaturelle. Les éléments s'entremêlent et se fondent dans la transe des percussions. » - > Les Dernières Nouvelles d'Alsace

Un folklore qui n'appartient qu'à eux

Armés de leurs instruments tout droit sortis de leur imagination, les artistes interprètent des compositions qui leur sont propres. « Nous avons inventé notre propre folklore. Nous sommes de nulle part pour mieux être de partout, ce qui rejoint le mythe africain du tambour qui parle », fait remarquer Raymond Gabriel. « Dans nos spectacles, il n'y a pas de parole, c'est le tambour qui parle. » Et où qu'ils aillent, le public est réceptif à leur imagination et à leur créativité. La Calédonie n'a pas été en reste et les a acclamés comme il se doit. Le final était à l'image d'une symphonie : triomphal. ». - > Les Nouvelles Calédoniennes

Le feu d'artifice du IIIème millénaire est né !

Pour les milliers de spectateurs qui en ont pris plein les yeux et les oreilles lors de cette première nuit des Escales 2001, les prochains feux d'artifice risquent désormais de manquer d'un peu de sel. » - > Presse-Océan

Les Commandos mettent le feu

« Envoûtant, tribal, délirant, grandiose, tripal, excellent, la magie du rythme et de la lumière… » Les superlatifs sont de rigueur pendant et après le Concert de Feu des Commandos Percu. Percussionnistes et artificiers, ces musiciens au look futuriste et à la fibre musicale créative ont enflammé les îles (au propre et au figuré) au son de leurs instruments uniques. Et, bientôt la lumière jaillit. Fusées, feux de bengales, tourniquets. Un spectacle millimétré où les fusées partent à la baguette. Un feu d'artifice haut de gamme. Des rythmes soutenus qui prennent aux tripes et emmènent le public ailleurs. Et, quand à la fin du spectacle, les musiciens quittent la scène pour se fondre dans le public, c'est un véritable délire. Oubliées la pluie et la boue. Tout le monde danse sur la prairie gorgée d'eau. Un spectacle mené tambour battant pour arriver à une véritable fusion avec le public. Pour tous, ce concert restera comme un des grands moments de ce festival. » - > Ouest-France

Une grandiose explosion de sons

« Pari gagné, pendant une grosse heure ils ont charmé les presque mille spectateurs, déclenchant après chaque morceau des salves d'applaudissements tirées à bout portant sur ces cinq démons qui tirent des sons invraisemblables d'instruments tout aussi invraisemblables. On savait par la musique du jazz que l'on pouvait jouer, sur de simples tambours, une étendue de sons multiples et variés ; eux passent la vitesse supérieure et offrent de véritables partitions de sons, mélangés dans une alchimie d'éclatements en tous genres, merveilleusement soutenus par un éclairage dément. Leur spectacle laisse aussi une large part à l'humour, quand un tireur masqué vient fusiller le public et dans un grand jaillissement d'éclairs sort de son canon monstrueux un petit lapin dodelinant. Etonnant aussi ces trente secondes dont le silence est uniquement perturbé par le secouement en rythme d'une simple boîte d'allumettes. Trois, quatre, dix rappels d'une salle en délire ont salué le véritable exploit de ces... musiciens. » - > La Dépêche du midi

Une foule familiale a fait une fête du tonnerre

« Ils sont en train de repeindre le ciel ! », aurait dit Antoine Blondin qui connaissait bien Mayenne. « Quel final ! La foule en redemande. Les Commandos Percu repartent dans un bruit de tempête. » - > Ouest-France